PROPOSITION ELECTORALE

L’énergie est un enjeu majeur de nos sociétés : l’industrie en a besoin pour produire, l’entreprise pour fonctionner, l’industrie du big data pour transférer et stocker les données… et dans nos chaumières, le jour pour cuisiner, laver, repasser, la nuit pour nous éclairer, et puis aujourd’hui, tellement important dans nos vies, pour rester connectés à nos écrans ordinateur, téléphone, télévision… et bien sûr, nous déplacer : le belge aime sa voiture, dans les citadins ont une préférence pour les bus, trams et métro, et pour de plus longs trajets, la sacro sainte voiture ou le train, et de plus en plus l’avion dont l’accessibilité a été rendue par des billets à des prix défiant toute concurrence ! Que deviendrions nous sans cette précieuse énergie ?

Des énergies alternatives, il y en a : solaire, éolienne, hydraulique, géothermique, marine… Seront-elles capables de subvenir à l’ensemble de nos besoins ? Aujourd’hui, le nucléaire refait la une, mais sous une autre forme : en lieu et place d’une fission comme c’est le cas de nos centrales actuelles, qui conduit à de nombreux déchets radioactifs et des catastrophes comme celles de Tchernobyl ou de Fukushima, on parle de fusion nucléaire, procédé qui libère 4 fois plus d’énergie que la fission. Ainsi, avec un litre d’eau de mer, la fusion nucléaire produirait l’équivalent de 300 L de pétrole ! Sans aucun déchet ! Une énergie propre et infinie qui pourrait bien illuminer l’humanité d’une nouvelle lumière.  En pratique, il reste de gros enjeux techniques, comme celui de chauffer la matière à plus de 150 millions de degrés pour obtenir un plasma.

Si l’idée d’une telle centrale est née en 1986, l’installation d’ITER, nom de ce fabuleux projet, a réellement démarré en juin de cette année en France dans les Bouches du Rhône. Le premier plasma est prévu pour 2025, et la production d’énergie à grande échelle en 2035. Soutenu par 35 pays, ce projet est un bel exemple de coopération. Car son enjeu est planétaire !

Bien sûr, il y a aussi la fameuse invention du moteur quantique de Nikola Tesla dans les années 30, avec lequel il fit rouler une voiture sur 600 km avec des pointes dépassant les 130 km à l’heure. Cette invention, perdue dans les 2 incendies et explosion du laboratoire de Tesla, a été remise à l’honneur en Inde par Terwani, avec des effets plus que prometteurs. Elle a permis une nouvelle théorie unifiant la relation entre l’espace, la masse, l’inertie, la lumière et la gravité. Là aussi nous aurions accès de manière gratuite, illimitée et autonome à l’énergie dont nous avons besoin.

Nul doute que les années à venir sont pleines de promesse, et que l’homme, avec son intuition et sa créativité, sera le trait d’union entre ces concepts révolutionnaires et leur mise en pratique. Et c’est aux gouvernements qu’il appartient de soutenir ces efforts de recherche.